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sérieusement???
j'ai acheté un agrès de blançoire pour les enfants qui arbore le même tissus que les sieges

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J'en ai vu aussi pour du matériel de camping!

La 2CV aussi faisait hyper simple et de la même manière, une structure tubulaire et une toile tendue.
Ici l'esprit est le même, limiter les coûts et je trouve ces astuces géniales.
Ce qui me plait dans une voiture économique au cahier des charges stricts, c'est le nombre de contraintes et l'ingéniosité déployée. Pour une Supercar c'est plus simple, aucune entrave budgétaire, les doigts dans le nez!
Cette Ecobasic me fait aussi penser aux "Key cars" Japonaises, petites, ingénieuses et surtout follement amusantes.

A Automedon...

"Volkswagen Scirocco MKII GT."







"Le coupé dans le vent."

On les a toujours baptisées voitures de "garçon coiffeur". Ces coupés populaires au look suggestifs bon marché mais bien souvent sous motorisés. J'ai beaucoup d'affection pour eux, sans doute à cause de tout ça, vouloir en faire beaucoup avec pas grand chose. Ils sont légion dans les années 70, en Europe ils pullulent et la plupart des généralistes en proposent un dans leur gamme.
Arrivé dans les années 80 ils ont encore beaucoup de succès et les plus vendus se renouvellent, Opel à sa Manta, Ford son éternelle Capri, Alfa Romeo sa Spint sans oublier Renault qui passe de la R15/17 à la Fuego. A Wolfsburg on ne change pas une recette qui plait, la Scirocco à très bien marché et il est question de la remplacer par un modèle très semblable mais plus au goût du jour.
Chez Volkswagen on à tiré les leçons de certains échecs, lancer un nouveau modèle trop dissemblable à celui qu'il remplace est une mauvaise pioche, on juge qu'il y a trop de risques. Ainsi en 1981 le voile est levé sur la Scirocco MKII.
C'est à Genève que les premiers visiteurs la découvrent. Cette nouveauté n'est pas la surprise du salon, le style de cette "new" Scirocco reprends les grandes lignes de la précédente tout en se modernisant légèrement à l'aide d'angles moins vifs et de plastiques noirs plus présents. Si on pourrait penser à un simple restylage, ce n'est pas le cas, elle ne partage ainsi aucun élément de carrosserie avec la MKI. Mais par souci d'économie, le châssis a été conservé tout comme certaines motorisations et les trains roulants.
A l'avant on remarque en premier l'abandon des phares ronds au profit de 4 projecteurs carrés accolés à des clignotants légèrement débordants vers le haut. Les modèles de base "L" et "CL" auront eux deux blocs rectangulaires à l'aspect visuel plus désuet. Un fin pare-choc en plastique noir souligne son visage qui intègre en son centre une calandre de petite taille en plastique noir. Le capot devient est quasiment plat mais assez incliné pour un profil dynamique. On retrouve encore un essuie-glace monobalais. C'est marrant mais observez bien une MKI des premiers millésimes vue des 3/4 avant et vous y verrez en filigrane...la De Lorean!
Le pli supérieur sur la ceinture de caisse est préservé mais celui en dessous a été gommé, il rends visuellement la voiture plus haute. On découvre aussi des arches de roues fortement prononcés. Les parties vitrées sont agrandies, la porte conserve son déflecteur fixe mais la grande vitre de custode gomme complètement le montant d'aile arrière. Si c'est au profit de la visibilité, ça nuit au look je trouve. Petit détail, les gouttières ont disparues et l'écoulement de l'eau se fait par des pli sur le pavillon. Une idée simple qui fera son chemin et que tous les constructeurs adopteront.
L'arrière avec son hayon incliné est en revanche assez modifié, l'angle intérieur de l'ancienne poupe à disparu, ce nouveau "popotin" est plus massif. La grande lunette est originale car elle forme un angle très prononcé vers le bas et est coupé en deux par un becquet en plastique noir. Dans la partie basse on apposé un sticker où est inscrit en gros le nom de la voiture sur certaines versions. Cet arrière plus haut possède des feux fins plus étirés avec en leur centre la plaque d'immatriculation. Un élément de tôle fait "tampon" avec le petit pare-choc noir en dessous et une jupe en tôle couleur caisse dessous.
Sur le papier, l'empattement reste identique mais la voiture à beaucoup grandie, tout cela au profit de l'habitabilité et du coffre.
Le mobilier intérieur est lui aussi inédit et il en avait bien besoin. Le style est très années 80, presque futuriste. Un gros rectangle face au conducteur reçoit toute l'instrumentation. A droite la planche de bord est fortement inclinée avec ces grands aérateurs rectangulaires au centre surmontant une épaisse console centrale. Les garnitures de portes moulées et creusées sont elles aussi bien plus modernes que les panneaux en simili plats de la première génération. Souvent coloré, l'habitacle de la Scirocco était qualitativement très supérieur à celui d'une Fuego par exemple.
C'est 3 moteurs qui sont proposés au lancement, un 1.3 litres de 60 chevaux, un 1.5 litres de 70 chevaux et un 1.6 litres de 85 chevaux qui passait à 110 en adoptant l'injection. C'est bien celui qui anime la Golf GTi...le modèle qui sans le savoir va sonner le glas des coupés populaires!
Libre au client de choisir son moteur et sa finition en fonction de ses envies et de son budget. Mais c'est la GTi qui est la plus désirable, mieux motorisée, mieux équipée et mieux présentée, c'est le petit coupé star du moment et elle adopte en 1983 le 1.8 litres de 112 chevaux qui a été monté sur la Golf. Les phares sont modifiés avec quatre projecteurs, deux rectangulaires et deux carrés associés.
Pour 1983 on repasse à deux essuie-glace et on voit arriver une version à 16 soupapes en 1985. A cette occasion la gamme est remaniée et la GT...devient le modèle de base! La GTX 16V est en revanche le fleuron, avec son kit carrosserie spécifique, spoiler, contours d'ailes élargis, ses jantes alu, sa déco et ses monogrammes, elle fait rêver bien des amoureux de petites sportives de caractère. Le moteur 1.8 litres 16 soupapes de 139 chevaux en fait une alternative sympathique à la Golf GTi bien plus discrète mais sans doute plus amusante à piloter. Toutefois, elle reste la première Volkswagen de série à dépasser les 200 Km/h, elle pesait moins d'une tonne, une autre époque.
Pour 1986 la GT adopte elle aussi le kit carrosserie de la GTX mais le lettrage "SCIROCCO" disparaît du hayon. La carrière de la Scirocco se calme en attendant sa mise à la retraite, quelques modifications d'ordre esthétique et dans la nomenclature se chargeront de faire parler d'elle jusqu'à l'arrêt de sa production en 1992.
Cette seconde génération se vendra moins que la première qui avait trouvée plus de 500.000 clients. La MKII en séduira lus de 290.000 mais il ne faut pas oublier qu'elle a été victime de la vague des GTi qui va mettre subitement un terme à ces petits coupés dès le milieu des années 80.
Le modèle exposé ici est une GT de 1983 habillée d'une classique et sobre robe grise métallisée.

Superbe Elle pourrait jouer dans Retour vers le futur dans cette livrée grise

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ex mégane 2 CC exception noire, mégane 3 coupé dynamique blanc toit vitré
et mégane 3 CC dynamique blanc nacré

mégane 3 CC Floride noir étoilé & mégane 4 Estate Intens bleu berlin

C'est vrai qu'avec cette teinte elle accentue plus encore son côté De Loran!
Elle brillait bien mais était loin d'être concours quand même.

ah ben moi je suis pas fan

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La gallerie de ma Golf Cab
Le blog de bubu

ce qui me gène avec le terme "concours" c'est que souvent on exige d'une voiture ancienne d'être en meilleur état qu'a sa sortie d'usine
ce qui n'est pas normal à mon sens.
les voitures d'époque étaient loin d'être parfaite à la sortie des chaines de fabrication
pour moi une voiture dite en état concoure devrait au mieux être au niveau de sa sortie de chaine de fabrication

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C'est vrai. Mais celle-ci avait quelques stigmates d'une vie "normale" avec ses bosses et quelques griffures. Reste qu'elle présentait très bien quand même...sinon elle n'aurait pas eu sa place ici!

Ah les fameuses poignée VW qui n'etaient pas très fiable,sur ma VW Polo (acheté neuve en 1983,36000 francs)j'ai du changer celle coté conducteur au mois 5 fois en 8 ans.Heureusement toutes les VW de la même génération en étaient équipés,donc trouvable facilement en casse auto...

Ah oui sur la Polo Fancy de mes parents, il fallait légèrement remonter la partie amovible pour ouvrir

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C'est vrai que celle-ci, on les à vues sur toute la gamme!

A Turin...

"Alfa Romeo 8C 2300 Spider Touring."







"Plaisir solitaire."

Avant la seconde guerre mondiale Alfa Romeo était un constructeur de voitures sportives de grand prestige. C'est un détail que l'on l'oublie souvent car on pense plus au fabriquant de voiture généralistes que l'on a en mémoire partir des années 50. Pourtant les plus belles pages de l'histoire d'Alfa Romeo se sont écrites dans les années 20/30 et en particulier grâce aux légendaires 6C et 8C. Si la 6C sera la plus vendue, la 8C aura une carrière plus confidentielle avec seulement 188 modèles fabriqués entre 1926 et 1939. Rendons hommage au passage à Vittorio Jano, le père de ces modèles mythiques sans qui elles n'auraient jamais vue le jour.
La 8C c'est une voiture de course racée qui pouvait aussi prendre place sur route et dont la ligne ultra sportive en faisait plus un manège à sensations qu'une automobile polyvalente et confortable. Elle allait droit au but la 8C et mettait en avant son gros cœur fait d'un 8 cylindres en ligne à double arbre à cames en tête de 2.3 litres de cylindrée. Développant 142 chevaux (175 avec un compresseur)elle était aidée par un poids limité qui en faisait un engin particulièrement redoutable. La voiture se forgera d'ailleurs en piste de très nombreuses victoires dans les épreuves les plus prestigieuses comme les Mille Miglia et les 24 Heures du Mans avec...4 victoires d'affilée à son palmarès! Rivale des plus prestigieuses automobiles de son époque, cette voiture symbolisait le meilleur du savoir faire de la marque légendaire d'Arese.
Côté route, une partie des châssis seront livrés à de nombreux carrossiers qui se chargeront d'habiller à leur manière cette voiture déjà culte à l'époque. Citons Zagato, Castagna, Touring, Pininfarina où encore Figoni, le gratin de la haute couture du moment. la 8C était alors la voiture de route la plus rapide de son temps.
Ce Spider signé Touring annonce clairement la couleur et s'habille d'une carrosserie sportive et dépouillée. Mais quel look, on y retrouve la calandre maison et surtout des roues repoussées à l’extrême avant de la voiture. Vue de côté le capot semble incroyablement allongé et l'espace réservé au pilote et à son unique passager fort réduit! On y accède en grimpant sur un large marchepied qui relie les deux ailes et on bascule une porte échancrée des plus symbolique. La poupe reçoit un appendice formé qui fait office de dérive et qui surplombe le carénage de la roue de secours. Détail amusant, de petits coffres fermés par des sangles ont été creusés dans cette partie, pratique.
A bord c'est étriqué et rustique, rien ne doit disperser le pilote...et c'est réussi. Un volant, des pédales et un levier de vitesses, le tour est vite fait et seul les manomètres d'usage sont présents pour surveiller la bonne forme de la cavalerie car dans une 8C, le plaisir se trouve dans sa conduite.
Datant de 1934, ce modèle équipé d'un compresseur Roots affichait 142 chevaux et était la rivale des Mercedes SSK elles aussi ayant recours à la suralimentation magique.

faut pas être épais pour passer ses jambes sous le volant

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Et même pour entrer dedans!

J'adore ces Alfa pré war et là en blanc et noir

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