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Lancée en 1975, la version HPE pour "High Performance Estate" était une très réussie variante à carrosserie typée break de chasse.
Produite jusqu'en 1984, la version "Volumex" disposait d'un compresseur greffé au bloc 2.0 litres d'afficher 135 chevaux.

Si vous êtes plus Dany Wilde que Bret Sinclair, la Dino 246 GT est faite pour vous!
Produite entre 1969 et 1974, la petite berlinette Italienne rencontrera un vif succès et deviendra une véritable icône au fil du temps bien qu'ayant eu une légère traversée du désert.
Son V6 Dino 2.4 litres de 195 chevaux en faisait un véritable jouet et une authentique sportive digne de Maranello. Une version GTS à toit amovible sera également proposée, une version elle aussi très prisée qui contribuera à ses excellentes ventes, il s'en sera écoulé 3761 exemplaires.
Le jaune allait très bien à ce fort joli modèle exposé ici à Montlhéry en septembre 2023.

Autre désirable déclinaison de la Lancia Beta, la version Spider, un vrai jeu des sept familles!
Commercialisée à partir de 1974, elle est fabriquée dans les ateliers de Zagato. Elle conserve un arceau incliné qui fait la jonction entre une toit type targa amovible et une capote qui recouvre la partie arrière.
Lancia la propose avec un moteur 1.6 litres de 100 chevaux et un 1.8 litres de 110 chevaux.
Produite jusqu'en 1982, elle sera construite à environ 8500 exemplaires.
On pouvait ici voir en septembre dernier à Montlhéry ce très joli modèle gris ici exposé.

Véritable GT polyvalente au look fleurant bon les seventies, la Dino 308 GT4 fera partie des Ferrari mises en marge, sans doute injustement.
On lui a reproché son look signé cette fois Bertone. Pour ma part, je le trouve très cohérent et malgré les contraintes architecturales imposées, la 308 GT4 est à mon goût très réussie. Autre grief, elle ne porte pas le logo Ferrari, pour certains, c'était presque un handicap, voir une honte, pourtant la 246 GT était aussi une Dino.
La 308 GT4 offrait 4 places, un coffre et le confort d'une voiture grand tourismes avec d'excellentes performances. Son moteur logé en position transversale arrière était un V8 2.9 litres de 255 chevaux.
En 1976, elle ôte son logo Dino pour laisser place au cheval cabré sur son capot avant, il semble que la clientèle soit sensible à ce "petit" détail. Notez que pour l'Italie un 208 GT4 est proposée pour éviter de trop lourdes taxes.
En 1980 fin de la production, la 308 GT4 n'aura été produite qu'à 2826 exemplaires et restera longtemps une mal aimée.
J'ai beaucoup aimé ce modèle à la savoureuse teinte délicieusement rétro ici exposé à Montlhéry en septembre 2023.

Ah la Maserati Biturbo, une révolution pour la Marque Italienne qui la dévoile en 1981. Très compacte, je lui trouve de faux airs de BMW Série 3 et elle en a quasiment le même gabarit.
Maserati se lance ainsi dans la grande série avec un modèle proposé à un tarif bien inférieur avec la gamme précédente. Si son dessin se montre franchement sobre mais de bon goût, l'habitacle est lui bien plus "exotique" avec ses velours plissés où des cuirs valorisants au regard, le tout lié à des boiseries luxueuses et un équipement riche, sans oublier la pendulette dorée au centre de la planche de bord, irrésistible. Bon, il ne fallait pas s'attarder sur les finitions mais elle en jetait un max!
Son moteur V6 équipé de deux turbocompresseur était la pièce de résistance, une sonorité fantastique accompagnait cette vigoureuse mécanique.
Sa carrière prendra fin en 1994, impossible de citer les innombrables versions, il faudrait une encyclopédie pour s'y retrouver! La gamme sera elle aussi large, berline coupé et cabriolet avec un florilège de cylindrées liées à un large éventail de puissances.
Auto à la réputation sulfureuse, elle le doit en partie à ses prix qui se sont effondrés en occasion et au peu de moyens alloués aux propriétaires ne pouvant lui accorder les moyens nécessaires pour une bonne maintenance.
Nous avons ici une 222 parfaitement conservée et dans sa livrée originelle, je dirais presque "belle toute nue" et exposée à Montlhéry en septembre 2023.

Produite entre 1957 et 1975, la Fiat 500 est devenue à elle seule le symbole de l'automobile Italienne populaire, elle est devenue iconique!
Produite à 4.250.000 exemplaires, elle est loin d'être rare mais elle fait toujours tourner les têtes avec son inimitable charme et sa gueule d'amour.

Je me souviens avoir eu un véritable coup de foudre lorsque j'ai découvert pour la première fois en 1994 cette quatrième génération de Maserati Quattroporte.
C'est Marcello Gandini qui la dessine et la découpe des passages de roues arrière est pour moi le détail qui tue!
Mesurant un peu plus de 4.5 mètres, la Quattroporte offrait un habitacle typique de la marque avec un style baroque, parfois "bling bling" et à la finition approximative, bref, c'est l'antithèse de la production germanique.
On trouvera sous son capot trois motorisations, deux V6 biturbo de 284 et 287 chevaux et le V8 de la Shamal fort de 335 chevaux.
La production cesse en 2001, elle reste minime avec 2883 modèles vendus. L'Evoluzione sort en 1998, elle est une mise à jour voulue par les nouveaux propriétaires de la marque, Fiat et Ferrari. C'est désormais la plus fiable et la mieux construite de cette génération de Quattroporte.
Le blanc allait très bien à ce modèle ici exposé en septembre 2023 à Montlhéry.

Lancée en 1979, cette nouvelle génération de Quattroporte inaugure un dessin signé Giugiaro. On le constate au premier regard, c'est une grande berline, elle mesure près de 5 mètres.
Malgré des formes géométrique bien dans l'air du temps, le style est relativement fin, voir racé, ce qui est loin d'être évident avec de telles mensurations.
L'ambiance à bord est unique, c'est un peu clinquant, tape à l'œil pour ne pas dire "bling bling" mais diable, que c'est chaleureux! Et même s'il ne faut pas regarder de près la finition, le client avait le sentiment d'en avoir pour son argent.
Lancée avec un V8 de 4.2 litres fort de 260 chevaux, la Quattroporte optera quelques années plus tard pour un 4.9 litres de 290 chevaux. Ce V8 n'est pas de trop pour les deux tonnes de la berline mais sa sonorité et sa vigueur font honneur au trident.
Sa carrière cesse en 1990 et 2141 exemplaires seront vendus, ce qui est peu.

C'est en 1980 que le coupé Alfetta GTV s'offre un relooking et s'adapte à la mode du moment en troquant ses chromes pour du plastique noir. Si la finesse originelle y perds son charme, cette mise à jour esthétique est bienvenue et redonne un coup de fouet au coupé.
La bonne nouvelle, c'est que l'Italienne se voit greffer le V6 "Busso" et l'air de rien, cette version va devenir au fil du temps une véritable icone.
Le capot est bombé désormais, elle est plus trapue et j'avoue que je la trouve bien sympa.
Le moteur V6 2.5 litres sort 160 chevaux avec ses vocalises inimitables, elle vous ensorcèle et l'essayer, c'est entrer en religion à jamais!
Fin 1983, une série limitée à 300 exemplaires destinée à la France est proposée, la "Production". Elle se démarque par un kit carrosserie que je trouve un peu "too much" et un ensemble de stickers avec le numéro du modèle affiché sur les ailes avant.
Alfa Romeo la propose en version 4 cylindres 2.0 litres et aussi pour la GTV6 2.5.
Voici l'une d'elle ici présente à Montlhéry en septembre 2023.

Rhhaaaa, l'Alfeta! Quand j'étais jeune, un pote en a eu deux puis il a arrêté car, selon lui, elles supportaient très mal le vol dos

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La Bourboule 2015

Jolies toutes ces Italiennes On en a retrouvé une partie cette année mais j'ai trouvé que ça manquait de Lamborghini (seulement 2 Aventador dont une partie avant l'heure et que je n'ai vue que de loin) et de Lancia anciennes mais c'est un bel évènement

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ex mégane 2 CC exception noire, mégane 3 coupé dynamique blanc toit vitré
et mégane 3 CC dynamique blanc nacré

mégane 3 CC Floride noir étoilé & mégane 4 Estate Intens bleu berlin

J'aurais bien aime une Countach...